CIC Ouest : L'Echo du CSE extraordinaire

15/03/2025


Le Comité Social et Economique de CIC Ouest s’est tenu le jeudi 13 mars et le vendredi 14 mars 2025 au Siège de la banque à Nantes. La séance était présidée par Mme HABY, accompagnée par Mmes GOURA et LOUVIGNY et par M ROBIN pour la partie sur le marché Entreprise.

22 élus présents et pour FO, Mme BOURGEAIS, MM FERRE et BOUILLAUD.

 

La séance du 13 mars était marquée par les votes des élus sur 15 dossiers sur le marché Grand Public ainsi que le marché Entreprise.

Sur le projet de Tours Grand Sud, le sort de Chambray ne s’est pas Joué hier, suite à la demande des Organisations Syndicales. Les discussions avec les élus ont amené la Direction Générale à repenser ce dossier, qui est donc repoussé à une date ultérieure.



« Et ce point de vente, je vous Lamballe ? »

Après Ploufragan, voici la fermeture de Lamballe et la transformation de statut de Langueux en bureau rattaché à St Brieuc.

Ce projet n’implique pas de changement en matière d’effectifs si ce n’est la transformation du poste de DA de Langueux en RPV.

De plus, quid des clients de Lamballe qui n’iront pas tous à Langueux voire Saint Brieuc ?

Sur l’aspect efficacité commerciale, nous nous interrogeons sur la fermeture de Lamballe et le rapprochement de Langueux à St Brieuc. N’aurait-il pas été plus judicieux de fermer Langueux et garder Lamballe comme agence ?

Cette fermeture occasionne un vide géographique entre Langueux et Dinan/Dinard qui posera soucis commercialement et dans la gestion RH dans le futur.

Quid de notre mission de banque de proximité et notre mission de « contribution au développement des territoires » ?

Le risque fort de perte d’une clientèle cible et le site retenu Paula/Cash Service sur Langueux sans effectif supplémentaire nous obligent à voter contre.



Villaine fermeture pour Guichen !

Nous analysons ce dossier sous 2 angles. Le détachement de Vern sur Seiche du point de vente de Rennes Fréville en premier lieu, et la fermeture de Guichen.

Concernant le détachement du point de vente de Vern sur Seiche de celui de Fréville, et son rattachement à celui de Bruz, ce projet nous semble plutôt cohérent, avec un bémol. En 2022, la précédente modification d’organisation avait alloué 5 ETP au point de vente de Vern sur Seiche, 2 CAPRO, 1 CP, 1 CCP et 1 CC. Le poste de CC ne figure plus dans l’organisation 2025.

Concernant la fermeture de Guichen, il nous semble que la qualité du point de vente, le dynamisme du secteur et les résultats des équipes qui s’y sont succédées depuis des années méritent que nous fassions preuve de patience, voire d’ambition. Nous aurions préféré regrouper Bruz, Guichen et Vern mais en proposant des équipes à 5. Certains clients du point de vente ont connu la fermeture de Redon, et il n’est pas certain qu’un transfert vers Questembert, Muzillac, Bain de Bretagne ou Chateaubriant soit de nature à permettre la conservation d’une clientèle.

La mission 4 des engagements pris par le groupe « entreprise solidaire, nous contribuons au développement des territoires » semble bien loin au regard de ce projet.

En conclusion, la suppression d’un nouvel ETP nous oblige à voter contre.



Brest : On conserve la Belle Iroise en bureau !

Le passage du point de vente de Brest Iroise d’agence à bureau rattaché au groupe d’agences de Brest, ne nous semble pas poser de difficultés sur la partie organisationnelle.

Sur ce dossier comme sur tous les autres, il faudra avoir une gestion très fine de la partie RH, afin de ne pas perdre des salariés pour qui le management était une évolution évidente dans une carrière.

Le fonctionnement en agence de 4 peut poser des soucis dans l’organisation, l’intégration au sein d’un groupe d’agence de 20 personnes au total devrait aider à mieux gérer ces problématiques.

Le maintien du point de vente est primordial, au regard de sa situation géographique, et nécessitera un pilotage aussi dynamique qu’aujourd’hui, afin de maintenir une réactivité forte sur ce secteur où la clientèle cible de CIC Ouest est présente.

Il faudra cependant rester vigilant sur la partie gestion des flux, que conservent 2 points de vente et qui obligera à une solidarité de tous à ce niveau, surtout qu’il s’agit des 2 entités les plus petites.

Avis favorable.



Sées dommage !

Ce projet consiste, d’une part en la fermeture du point de vente de Sées et d’autre part le rattachement de l’agence de Mamers à Alençon.

Mamers a perdu les flux au profit du crédit mutuel il y a 3 ans, la DA a validé son EDD il y a de cela 1 an, les 2 parcours métiers viennent de se terminer, l’équipe de 5 (avec le CAPRO Agri) avait trouvé son rythme, nous ne voyons pas ce que le rattachement va apporter, notamment au regard de la distance entre les 2 points de vente, 26km, minimum 30 mn, et une charge supplémentaire pour Alençon qui, avec ce rattachement, maintient une gestion de 3 entités.

Où est la logique dans ce dossier, la proximité ? il n’y en a pas. L’organisation ? en quoi le fait d’être rattaché peut améliorer le quotidien de Mamers ? Le binômage avec la création d’un poste Agri à Alençon ? Ce dernier aurait pu être positionné à Mamers.

La création d’un poste de CP est le seul point positif de ce dossier.

Sées, point de vente central du triangle entre Argentan, l’Aigle et Alençon, la fermeture va créer un vide géographique et un risque que cette clientèle rurale ne veuille pas faire les 22km pour aller voir leur chargée de clientèle.

L’équipe de Sées voit le côté positif au niveau organisation, que ce soit pour l’accueil partagé, les congés ou le télétravail.

Le crédit Mutuel de Sées récupère les flux fin avril (et certainement bon nombre de clients, hélas) il serait souhaitable que les clients apprennent en même temps la fermeture de leur agence.

Encore un CIC de proximité qui disparait, pour cette raison, nous votons contre.



Fin de « Vi-moutiers » !

Le point de vente de Vimoutiers représente 1 tiers de la clientèle du groupe d’agences.

Il a recueilli la clientèle du point de vente de Gacé, située entre Vimoutiers et Sées, qui se plaint encore de la fermeture.

La double fermeture, Sées et Vimoutiers, risque d’entrainer une très forte attrition de cette clientèle, qui devra réaliser des déplacements encore plus longs pour rencontrer leur conseiller. 

La clientèle actuelle de Vimoutiers, plutôt typée rurale, se plaint de la baisse de qualité des agences de la SG et de la Caisse d’Epargne, au point de venir au CIC.

La fermeture prochaine des flux de l’agence de Vimoutiers permettrait, en donnant ½ de temps commercial supplémentaire, de mieux répondre aux besoins des clients du point de vente et à l’objectif d’entreprise à mission « entreprise solidaire, nous contribuons au développement du territoire ».

Enfin, la mise en œuvre de la pureté des portefeuilles s’appuie sur des points théoriques plus discutables. Les CAPRO disposent aujourd’hui sur leurs PTF, des gérants de SARL qu’il sera difficile de transférer sur un autre PTF sans rendre la relation plus complexe. Sur les clients patrimoniaux, certains sont reconnus comme tels que parce qu’ils disposent d’un patrimoine acquis dans le temps, et n’ont pas les attentes de vrais patrimoniaux actifs, ce qui plombera à terme l’analyse du travail effectué par les équipes. Il faut rappeler sur ce dernier point qu’un poste de CP a été à plusieurs reprises créé puis supprimé sur Argentan.

La suppression de 2 postes nous oblige à voter défavorablement.



Sortez les mouchoirs pour Chemillé !

Ce projet consiste à passer l’agence de Chemillé en bureau rattaché à Centre Mauges.

Chemillé a été très fortement impacté depuis la récupération des flux du CM situé juste en face.

A ce titre il ne faudrait pas que ce rapprochement oblige Centre Mauges à récupérer les soucis inhérents au fonctionnement du point de vente de Chemillé alors qu’il semble encore bénéficier d’une belle dynamique commerciale.

Nous ne voyons pas trop l’intérêt de ce rapprochement entre ces deux points de vente, sauf à vouloir rentrer dans le cadre fixé par le Plan Stratégique de réduire le nombre d’agence de moins de 7 salariés.

Chemillé pourrait y perdre en autonomie et donc en réactivité, et Centre Mauges pourrait y perdre en temps commercial quand elle devra remplacer sur Chemillé le cas échéant.

Devant le maintien de l’équipe à iso-effectif, FO vote cependant favorablement sur ce projet.



Luisant s’éteint

Chartres va fermer 1 de ses 2 bureaux avec la fin de Luisant : le problème n’est pas la distance mais plutôt la différence de clientèle sur ces 2 points de vente. Luisant et sa clientèle patrimoniale va-t-elle se résoudre à se déplacer sur un secteur qu’elle considère plus populaire ? telle est la question et l’enjeu est de taille. La Réaction lors du transfert des flux au Crédit Mutuel juste en face il y a 1 an avait été très vive, alors une fermeture !!! Ce point de vente a subi de nombreux problème RH qui ont occasionné un sentiment de délitement et d’abandon. L’effectif de 3 va se répartir sur Lucé et Chartres avec la création d’un nouveau poste de CP sur Lucé, qui, nous l’espérons, atténuera le risque de déperdition de la clientèle patrimoniale. Lucé, quant à lui, voit l’arrivée de 3 personnes supplémentaires d’un bon œil, notamment au niveau de la charge de l’accueil partagé et de la gestion des flux, tant que la SG n’aura pas mis en œuvre le projet PAULA. Outre le fait d’être propriétaire des murs, l’avantage de Lucé réside en son parking, ce qui n’était pas le cas à Luisant ainsi que la possibilité de loger 3 personnes supplémentaires.

Il n’est jamais agréable de voir un point de vente fermer mais la création d’un poste de CP explique que l’on vote favorablement.



L’avenir de Chauvigny en point Centrale 

Le rattachement de Chauvigny au point de vente de Châtellerault nous semble permettre à Chauvigny d’envisager l’avenir avec sérénité.

Le secteur bénéficie d’un dynamisme économique et d’une clientèle dans la cible, de par la proximité de la Centrale de Civaux, qu’une fermeture aurait moins permis de conserver. La perte de la gestion des flux, et l’arrivée d’un CP devrait permettre de mieux travailler cette clientèle.

L’agence de Châtellerault semble dimensionnée pour ce projet.

Nous demandons que tous les moyens soient mis en œuvre à court terme, afin que la récupération temporaire des flux du CM LACO, le temps des travaux de la caisse de Chauvigny, ne vienne pas gêner l’activité commerciale ou positionner les salariés du point de vente en grande difficulté comme cela a pu être le cas ailleurs.

Nous demandons aussi à ce que la situation RH de Châtellerault soit prise en compte avec le départ récent du CA Agri, et la mutation prochaine d’une CC du point de vente. Il est dommage que le point de vente n’ait pas encore été déchargé par les services de CCS de la gestion administrative des clients sous tutelle, qui représente aujourd’hui une charge importante. Avis favorable.

 



La faïencerie de Gien récupère les « é-maux » de Briare !

Ce projet se décompose en 2 phases : la première concerne le rattachement de l’agence de Cosne Cours sur Loire et la seconde consiste en la fermeture du bureau de Briare.

Concernant le rattachement de l’agence de Cosne, cette solution n’est pas une surprise et rassure l’équipe d’autant qu’un RPV va être nommé. Cette nomination est nécessaire avec une distance de 45 km entre les 2 points de vente.

 Le Crédit Mutuel sera cash service mais les travaux n’ont toujours pas commencé, et durant ces travaux, Cosne récupèrera les flux, il est préconisé que la personne qui s’occupe du GAB actuellement reste jusqu’à ce que le Crédit Mutuel ait finalisé le projet Paula.

En ce qui concerne la fermeture de Briare, le projet a l’approbation des salariés du point de vente car c’est très difficile pour eux de fonctionner à 3.

L’inquiétude peut être la réaction des clients, d’autant que la clientèle de Briare représente 43% du total clients des 2 points de vente dont un tiers des clients de la CP et pas des moindres en encours d’épargne financière. La Société Générale sera Cash Service, les travaux n’ont toujours pas commencé, il n’y a pas d’agence Crédit Mutuel à Briare. Nous n’avons pas de date sur la fermeture de ce point de vente :  faut-il fermer l’agence dès cet été et juste laisser le GAB en attendant la mise en place du projet Paula (ce qui a la préférence de l’équipe) ou faut-il attendre que la Société Générale soit prête pour la gestion des flux ?

Bien que la distance entre les 2 points de vente ne représente que 10 km, nous avons des craintes sur le risque de déperdition de la clientèle de Briare et pour cette raison, FO s’abstient.



« Ploe»meur un autre jour ! 

Ce dossier de « rationalisation » du maillage lorientais suscite beaucoup d’incompréhension.

Lors de la fermeture de Lanester, il fallait « trouver des solutions aux contraintes d’organisation de 3 points de vente ».

Lors du projet de fermeture de Guidel, vous aviez promis une cible à 6 ETP pour Ploemeur, organisation qui s’est mise en place au dernier trimestre 2024, au regard des efforts des équipes qui jusqu’alors maintenaient une croissance de leur fonds de commerce. Les équipes n’ont pas encore le temps de digérer la fermeture de Guidel, et les plaintes qui en ont découlé, qu’on reparle d’une modification de l’organisation.

Ce projet revient donc sur cette organisation qui marche, pour en proposer une à 3 points de vente que vous vouliez pourtant corriger il y a 2 ans et un point de vente où un décideur aurait été nécessaire, DA ou RPV.

Lorient n’aura pas les moyens de venir aider Ploemeur, que la perte d’un ETP va repositionner dans la difficulté.

Cette récurrence dans la recherche d’une organisation type ne nous semble guidée que par le biais d’un désinvestissement dans l’humain pour la banque, ici matérialisé par la perte d’un ETP supplémentaire.

Avis défavorable.



Nantes Jules Verne Iberbanco : 20.000 lieues sous l’amer !

Ce dossier, le passage de l’agence Iberbanco en bureau rattaché de Nantes Jules Verne, ne semble porté que par un objectif de gain financier, en justifiant la suppression d’un nouvel ETP, le second en 2 ans après la fermeture du point de vente de Nantes Rond-Point de Paris.

La cohérence entre les clients de Jules Verne et celle d’Iberbanco est loin d’être évidente, et cela risque de poser énormément de problématiques pour lesquelles les équipes seront seules face aux solutions à trouver.

Il semble difficile de faire équipe quand les deux points de vente bénéficient d’entrées distinctes.

Ce dossier interroge sur la stratégie à long terme.

Quel est l’avenir d’Iberbanco alors que cette agence est rentable ? Quel sens donner aux équipes du réseau alors que les seuls projets qui leur sont proposés passent par des contraintes supplémentaires, rendant toujours plus complexe un quotidien normalement tourné vers le commercial ?

FO se prononce défavorablement.



Arrêtons de tirer sur les Rennes !

Rennes Fréville et Rennes Villeneuve vont fusionner vers un nouveau point de vente à trouver.

Les équipes de Rennes Fréville sont unanimes sur la nécessité de quitter la zone, au regard d’une insécurité grandissante.

Le point de vente de Villeneuve ne semble plus aussi efficace commercialement, et l’idée de trouver un nouveau site pour y regrouper les deux équipes semble la bonne.

Nous serons attentifs au dossier de présentation de ce nouveau point de vente quand l’emplacement et l’organisation auront été fixés.

Au regard du maintien de l’effectif au même niveau et de l’urgence à fermer Fréville, FO est favorable à ce projet.



On ferme les Vannes à Plescop et Pargo

Ce projet vise donc à rapprocher les équipes de Plescop et Pargo, sur un même point de vente dans une zone à l’Ouest de Vannes.

Les équipes sont dubitatives concernant la capacité du point de vente à attirer la clientèle, alors que les points de vente actuels connaissent une dynamique commerciale remarquable.

Les équipes s’inquiètent aussi sur le format d’agence collaborative.

Elles nous ont fait également part de leurs inquiétudes sur la charge de travail du TSC au regard de la taille du groupe d’agence, sur la charge du travail des DA et RPV devant le nombre de commerciaux qu’ils auront à animer.

Le maintien du poste de RC nous semble nécessaire au regard de la tâche managériale sur 3 points de vente et plus de 20 salariés.

Au final la perte de 2 ETP nous positionne défavorablement face à ce dossier.


Au final sur le maillage de CIC Ouest, c’est au moins 60 points de vente qui ont disparu de nos territoires depuis 2021, soit environ 20% d’enseignes en moins !

S’il y a quelques regroupements, les fermetures sont très majoritaires et la « rationalisation » du réseau de CIC Ouest semble être à ce jour réalisée…enfin, espérons-le…



Marché Entreprise : Des missions ou démissions !

Les équipes du marché Entreprise ont mal vécu la présentation de ce dossier, qui, sur la forme fut mal ressentie :

•            En choisissant d’afficher que CIC Ouest représente 20% de l’effectif CIC pour 17% des résultats, la présentation a jeté un voile de suspicion sur l’efficacité des équipes. Pour autant, le secteur de CIC Ouest est celui où les marges sont les plus faibles, en raison d’une concurrence plus féroce qu’ailleurs, ce qui est constaté dans tous les réseaux bancaires. 

•            En indiquant vouloir « faire aboutir les sujets non traités en 2020 » on rejette la responsabilité sur l’équipe précédente. 

•            En appelant à « mettre le bon CAE face au bon client » on voudrait faire le constat que ce n’est pas le cas aujourd’hui, alors que les résultats ne sont pas si mauvais, ce qui a choqué les équipes.

Cette réforme s’appuie sur des ratios et oublie les spécificités territoriales.

Il faut savoir que la segmentation des portefeuilles a généré le départ d’un nombre significatif de CAE lorsqu’elle fut mise en place à Nord-Ouest. Sur ce marché, la confiance entre les dirigeants d’entreprise et leur CAE est primordiale, et tout changement d’interlocuteur peut être préjudiciable à cette relation, la concurrence étant à l’affut de la moindre modification. Il faudra donc que cette segmentation se fasse intelligemment, et progressivement.

Concernant les ACE, ces postes sont indispensables et complémentaires aux postes de CAE, et la diminution du nombre d’assistantes va transférer des tâches sur les CAE et impacter leur réactivité vis-à-vis des clients, réactivité qui est aujourd’hui notre marque de fabrique, à laquelle s’ajoute le professionnalisme de nos services, ces deux composantes étant appréciées des clients et permettant de valoriser le travail effectué. A la Rochelle, Tours et Maine Orne Sarthe, un excès de confiance avait amené le projet de 2020 à supprimer des postes d’ACE au point de positionner les équipes en grande difficulté pour au final réajuster les équipes à leur taille initiale.

Les éventuels transferts de certaines activités vers un SCE déjà en difficulté, n’est pas envisageable, et rien n’est proposé en face, ni accompagnement par l’Intelligence Artificielle, ni services centraux, etc.

Nombre de salariés de ce marché nous ont fait remarquer que le schéma organisationnel de CIC Ouest était le meilleur, permettant réactivité, proximité et professionnalisme.

En conclusion l’alourdissement des portefeuilles et la diminution du nombre des ACE risquent de freiner le développement commercial sur ce marché. Il nous semble opportun de procrastiner sur les suppressions de poste.

Avis défavorable.



Prochain CSE en avril 2025 !

Vous souhaitez poser une question ? Cliquez sur le lien suivant !

Vous souhaitez soutenir nos actions, et adhérer à FO CIC Ouest ? C'est par ici !